Y’a un lapin dans la lune

Production :
Vélo Théâtre

Contact :

compagnie@velotheatre.com
Aurélie Aloy
Chargée de diffusion
+33 (0)6 74 77 04 42

théâtre d’objet
tout public à partir de 4 ans / scolaires de 4 à 10 ans – 1h

Une nuit, Thomas Snout vit le jour. Depuis, il capture les nuits à main nue : c’est une chose difficile et salissante, car l’obscurité est noire et laisse des traces.

C’est aussi une chose dangereuse parce que les peurs habitent la nuit, comme les poissons la mer.

Mais Thomas Snout a collectionné au moins 3845 nuits, petites et grandes, avec ou sans Lune, noires ou étoilées, des nuits à lui, celles des autres, ainsi que quelques exemplaires qu’on lui a prêtés…

L’atelier de Thomas Snout
Thomas Snout rapporte chaque jour dans son atelier de petites choses qu’il récolte la nuit : des feuilles sèches que le vent d’hiver soulève les nuits sans lune, des feux d’artifices d’une nuit de 14 juillet, des enregistrements de chats amoureux et de chouettes, des paroles chuchotées dans le silence de la nuit.

Les visiteurs de Thomas Snout
Quand Thomas Snout reçoit des visiteurs dans son atelier pour leur montrer sa collection,
il les invite à porter des costumes de nuit confortables pour les mettre à l’aise. Ne pensez pas que Snout profite de l’obscurité pour vous surprendre facilement ou même vous effrayer, non, Thomas Snout n’est pas ce genre de personne qui se fie aux effets spéciaux pour séduire l’auditoire. Thomas Snout est quelqu’un qui a lu Pinocchio, le Petit Prince, Pirandello et Polichinelle, pour ne citer par exemple que ceux qui commencent par P.
En tant que grand voyageur de nuit, il aime simplement raconter des histoires que les gens aiment écouter quand les autres dorment…


Mise en scène Francesca Bettini
Avec Charlot Lemoine, José Lopez et Tania Castaing ou Sabrina Lambert


Ils en parlent

« Le meneur de jeu embarque les enfants dans chacune des histoires, à la fois simples et magiques, racontées par tous ces objets que les petits reconnaissent bien […]. Quant aux adultes, ils replongent aussi avec bonheur dans les souvenirs et dans la poésie perdue des objets du quotidien, pourtant alourdis et riches de leur propre passé, de leur vie et de leurs rêves oubliés ».
« Théâtre : les objets et leur âme », L’Est républicain, 29 avril 2008

« Le parti pris surréaliste de la pièce tranche avec les productions “jeune public” plus linéaires. Ici le monde des objets à définitivement quitté le quotidien pour un monde onirique plein de poésie. »
Le courrier de l’Ouest, 15 février 2006


Galerie photo