Vendredi 7 décembre 20h30 – Les Cris poétiques

Pour ces 28èmes Cris, une soirée exceptionnelle réunit Marie Cosnay, écrivaine et traductrice de textes antiques, Martina Kramer, plasticienne, Isabelle Courroy, flûtiste, et Jean de Breyne, poète et éditeur.

Au programme : des lectures faisant dialoguer poésie avec Marie Cosnay et Jean de Breyne, musique avec la dernière création d’Isabelle Courroy « Loxias, souffles de cristal » (rejouée le lendemain), et intervention plastique avec les « Plis de la lumière » de Martina Kramer.

Une soirée Les Cris poétiques organisée en complicité avec Alt(r)a Voce et présentée par Florence Pazzottu.

Plein tarif : 12 euros / “Rayon de Vélo” : 8 euros / réduit : 5 euros
Réservations : Vélo Théâtre – reservation@velotheatre.com – 04 90 04 85 25

 


Info calendrier


 

Du 7 au 20 novembre : l’Afrique à l’honneur avec le 16ème FCAPA

Depuis 2003, le Festival des cinémas d’Afrique du pays d’Apt donne à voir l’Afrique à travers ses propres regards, ceux des cinéastes d’Afrique. Partenaire des premières heures de ce festival aussi festif qu’il est exigeant sur sa programmation cinématographique, le Vélo Théâtre accueille cette année une exposition, un programme de courts-métrages entrecoupés de surprises théâtrales et gustatives comme il sait si bien les concocter, et participe au Marathon Vidéo.


Du 7 au 20 novembre 2018 au Vélo Théâtre
Exposition « Maladie, mort et au-delà dans l’art tribal africain »

Dans le cadre du 16ème Festival des Cinémas d’Afrique du Pays d’Apt, le Vélo Théâtre accueille du 7 au 20 novembre une exposition d’objets rituels et usuels d’Afrique subsaharienne de l’association Arts Premiers de Peuples Minoritaires.

Les peuples premiers ont de la maladie, de la mort et de leurs suites des visions très différentes des nôtres. Ces états successifs sont chez eux imbriqués hors des réalités du quotidien avec les esprits de la nature et ceux des générations précédentes. Les relations entre le monde des « encore vivants » et le « monde autre » s’expriment au travers de masques, de statuettes et de textiles variés. Tous ces objets recèlent des « pouvoirs » magiques et une inventivité artistique qui a inspiré nombre d’artistes occidentaux. Ce sont ces objets magiques que cette double-exposition, au Vélo Théâtre sur l’art tribal africain du 7 au 20 novembre, à la médiathèque de Saignon sur l’art tribal amérindien du 9 au 20 novembre, vous donnera à voir, à sentir, à toucher.

Exposition ouverte au Vélo Théâtre du lundi au vendredi de 10 à 12h et de 15 à 18h.
Une visite guidée se déroulera le jeudi 8 novembre à 19h avec l’ethnographe Alain Becker, ainsi que le vendredi 16 novembre à 17h.
Entrée libre – Réservation conseillée au 04 90 04 85 25


Samedi 10 & dimanche 11 novembre 2018
5ème Marathon vidéo

Réalisez un film de 3 minutes en 2 jours, sur un thème imposé : inscription du 10 octobre au 10 novembre,  rendez-vous sur le FCAPA Marathon Vidéo !


Mardi 13 novembre à 20:30
Ciné-repas : programme de courts-métrages

When I grow up I want to be a black man de Jyoti Mistry – Afrique du Sud – Fiction – 2017 – 10’
Tout au long du film, l’écran est divisé en deux parties et confronte des images d’archives et des prises de vues contemporaines. D’un côté une encyclopédie de la violence et de l’autre l’évocation du possible. Un film expérimental sur les Afrikaners et leur histoire.

Black Mamba de Amel Guellaty – Tunisie – Fiction – 2017 – 20’
Sara suit des cours de couture à Tunis. Elle est promise, contre son gré, à un prochain mariage. Mais elle n’entend pas suivre la voie tracée par sa mère et, la nuit, elle s’échappe pour vivre sa vie. Avec ce film, Amel Guellaty met en scène un personnage féminin fort, prêt à braver les préjugés.


Master of the classe de Carine May et Hakim Zouhani – Algérie/France – Fiction – 2018 – 25’ – En présence de Carine May
Berry est professeur des écoles dans une classe d’élèves d’une dizaine d’années et non francophones, arrivant de l’étranger. Toujours vacataire, il souhaite être titularisé pour de bon. Cette journée va être décisive : il va se faire inspecter pour la première fois…


Profession tueur de Walid Ayoub – Maroc – Fiction – 2017 – 23’
Afin de participer à un concours d’écriture, Sami, un jeune homme un peu rêveur, réalise un reportage sur Abbas, un tueur atypique qu’il connaît depuis son enfance…

Tarifs : 6,50€ / 5,50 € / 3€
 – billetterie gérée uniquement par le festival : au cinéma d’Apt et par correspondance www.africapt-festival.fr

Jeudi 22 novembre 20h30 « Il se trouve que les oreilles n’ont pas de paupières »

Comme je l’entends, Les productions (PACA)
Théâtre musical

“IL SE TROUVE QUE LES OREILLES N’ONT PAS DE PAUPIERES”

“La haine de la musique” : à la profondeur de ce texte érudit et sensible de Pascal Quignard répond l’architecture d’une composition musicale originale interprétée par un musicien et un comédien. À sa forme étonnante, entre méditation, conférence, discours politique, conte et confession, répondent la virtuosité et la capacité du son à se transformer en un instant et à toucher au plus intime.

Avec : Pierre Baux (comédien) et Garth Knox (alto) – Conception, musique, dramaturgie et mise en scène : Benjamin Dupé – Texte d’après “La Haine de la musique” de Pascal Quignard

En partenariat avec le Conservatoire intercommunal de musique du Pays d’Apt.

Plein tarif : 12 euros / “Rayon de Vélo” : 8 euros / réduit : 5 euros
Réservations : Vélo Théâtre – reservation@velotheatre.com – 04 90 04 85 25


Info calendrier


conception, musique, dramaturgie et mise en scène Benjamin Dupé
texte
d’après le livre La Haine de la musique de Pascal Quignard
aux éditions Calmann-Lévy (1996)
avec
le comédien Pierre Baux et l’altiste Garth Knox
éléments de scénographie
Olivier Thomas
lumière Christophe Forey
collaboration informatique musicale Ircam
Manuel Poletti
son
Julien Frenois
photos © Agnès Mellon

Production Comme je l’entends, les productions

Coproduction SACD – Festival d’Avignon

Avec le soutien de la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur-Aide à la création,
le Conseil Général des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille, la Spedidam et la Sacem

Avec l’aide du CENTQUATRE-Paris et du Gmem-Centre national de création musicale de Marseille

 

Vendredi 2 novembre 19h « L’Eustache à la main »

Performance du Morbus Théâtre (Ile-de-France)
Première 

“L’EUSTACHE A LA MAIN”

A partir d’un texte coup de poing de Blaise Cendrars sur la Grande Guerre, L’Eustache à la main propose une expérience contemplative, poétique, viscérale sur la violence de l’Histoire. Mariant danse, texte, lumière, punk-noise et art plastique, ce théâtre paysage ouvre des portes dans le sensible et la pensée pour questionner l’aujourd’hui par l’hier.

Avec : Guillaume Lecamus (conception, interprétation du texte J’ai tué, de Blaise Cendrars), Ephia Gburek (danse), Thomas Carpentier (musiques)

Performance tout public à partir de 15 ans – tarifs : 5-8-12 euros – durée : 1h10
Vendredi 2 novembre à 20h30
Renseignements et réservations : reservation@velotheatre.com 04 90 04 85 25

Cette performance est un événement de la Coopérative OEuvrière de Production : chambre de réflexion artistique, politique et structurelle, la Coopérative souhaite développer de nouvelles pratiques dans le domaine de la production des œuvres d’art. Elle invite différents acteurs de l’économie sociale et solidaire à prendre part à la réflexion sur les espaces pour la création en lien avec les populations avant la présentation de « L’eustache à la main », de 15h à 19h (inscriptions au 04 90 04 85 25 velos@velotheatre.com).


Info calendrier


Texte (J’ai tué) : Blaise Cendrars
Conception et interprétation : Guillaume Lecamus

Danse : Ephia Gburek
Musiques : Thomas Carpentier
Réalisation plastique : Norbert 
Choquet
Lumières : Jacques Boüault
Regard dramaturgique : Julie Postel

Ce projet du Morbus Théâtre est accueilli en résidence du 22 octobre au 3 novembre 2018 à Apt, pour clore un processus de création démarré il y a deux ans avec le Tas de Sable, la Chambre d’eau et le 232 U. Cette étape soutenue par la Coopérative OEuvrière de production au Vélo Théâtre (Région Sud) permet au Morbus Théâtre de finaliser ce cheminement artistique jusqu’à sa présentation au
public.